depuis la Révolution française, on va en prison pour des actes ou crimes qu’on a commis, pas pour ce qu’on est, pas au nom d’une dangerosité indiquée par des psychiatres
Badinter s’élève contre la peine de sûreté pour les pédophiles
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mardi 8 janvier 2008, par
depuis la Révolution française, on va en prison pour des actes ou crimes qu’on a commis, pas pour ce qu’on est, pas au nom d’une dangerosité indiquée par des psychiatres
Badinter s’élève contre la peine de sûreté pour les pédophiles
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