Cela faisait longtemps que je n’avais pas dormi avec quelqu’un, au point d’oublier comme la chaleur d’un corps rend toute couette difficile à supporter - à moins d’être un frileux congénital.
Se réveiller en l’enlaçant, les corps imbriqués, la caresse sur la peau, douce. C’est agréable, détendant, doux, excitant aussi.
Mais une fois le réveil passé, se retrouver avec un fan de la vilaine fermière, qui n’a de conversation que son idole, de musique que ses albums, d’intérêt qu’ego centré, remet tout de suite les choses en place.
Seul ou mal accompagné ? Décidément, bien accompagné, sans contrefaçon, il reste du temps pour l’être.
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