Malheureusement ce genre d’histoire n’est pas isolé, et on retrouve ces mêmes comportements dans d’autres domaines.
Un "chacun sa merde" qui tend à se généraliser, conséquence directe d’une évolution profonde de la société ces dernières années, qui vise à étouffer les élans de liberté individuelle au profit d’une sécurité (illusoire ?) collective.
Action, réaction : les “récalcitrants” se radicalisent, et jouent à fond la carte de l’individualisme , au mépris du collectif … et au risque (élevé, la preuve) de générer une contre-réaction encore plus forte.
Bref, comme Christian Tirat à l’échelle de sa commune, la volonté de faire progresser les choses, de les ramener à un équilibre plus juste, s’émousse, et grandit la volonté de trouver d’autres moyens de faire avancer les choses.