Je relis ce jour dans le figaro l’assertion du Figaro selon laquelle "Nicolas Sarkozy aurait cédé sur l’enregistrement dans les commissariats […] obtenant en contrepartie l’abandon de la présence de l’avocat dès la première heure de garde à vue […]"
Or personne, ni même Maître Eolas, ne s’étonne (au minimum) : information fausse, passée à la trappe, ou sans aucune importance au regard de la video-surveillance ?